Il est un fait avéré que la mouvance décroissante n’est pas homogène et que toutes ses composantes sont loin de poursuivre le même but dans le cadre de leur engagement politique. En effet, de la frange décroissante façon greenwashing d’EELV, à l’eschatologie apolitique des effondristes, en passant par le clientélisme semi-décroissant de la France Insoumise, le mot magique de « décroissance » est utilisé à des sauces diverses et variées, pas toujours très claires et souvent teintées d’alibi occultant des desseins de pure politique politicienne, le summum de la galvaudisation du terme étant aujourd’hui avéré dans par la primaire écologiste où chaque concurrent se prétend plus ou moins décroissant en fonction des circonstances. La suite de cet article est réservée aux abonnés !