
A aucun instant, le rôle de la déplétion pétrolière ne fut mis en évidence, car elle n’entrait pas dans la logique argumentaire d’aucun parti. Le concept du développement durable ayant été validé par toutes les tendances de l’échiquier de la pensée politique, la foi du grand public dans les énergies alternatives, vertes et renouvelables, semblait inébranlable et une réelle secousse économique due à d’éventuels problèmes de disponibilité fossile ne pouvait pas être raisonnablement envisagée.